Et pour cela il faut radicaliser, c’est dire revenir à la racine, aux motivations profondes, notamment à celle des mots.
Puisqu’il nous est tant répété qu’il y a une « crise sanitaire », voyons ça de plus près.
Les « gouvernants « restent en surface. Evidemment le pouvoir se passe en surface puisque c’est pour « dominer » ceux qu’ils placent en dessous. Approfondissons le sujet de la débâcle sanitaire à partir de trois mots qui ont beaucoup à nous dire : sain, saint, salut.