Le soir de Noël, la Nativité chrétienne a été présentée en Occident comme un fait, une réalité dans une logique d’humain fautif qui a besoin d’être pardonné et purifié, et cet événement – de l’Enfant Divin, Rédempteur, né d’une vierge élue, pour venir, par la puissance de sa mort et de sa résurrection, sauver l’humanité de ses péchés – s’est imposé comme une réalité, un monde qui avait besoin d’une théâtralisation extérieure pour comprendre comment changer et transformer son intérieur, afin de se « corriger » c’est-à-dire d’élever son niveau vibratoire.