Il est urgent de dire les choses telles qu’elles sont sans ménager les sensibleries, dont vous allez comprendre ce qu’elles sont en réalité. Mon rôle n’est d’ailleurs pas de ménager les susceptibilités mais de proposer rapidement un changement de mentalités pour le bien de tous. Mon rôle est de participer à la vraie fraternité, une spiritualité laïque qui inclut tous les êtres vivants semblables ou non. D’ailleurs si ce n’est pas moi, toi, nous, qui le faisons…comptes-tu donc sur nos dirigeants qui nous dirigent vers le précipice ?
Je n’ai pas écrit cette « lettre ouverte »mais si je la publie c’est que je la cautionne à 1000%. Elle m’a été envoyée par Grégory Wispelaere de « Terre Originelle ».
La voici :
Lettre ouverte aux dévoreurs d’animaux
“Culpabiliser les gens n’amènent pas le changement mais la résistance à celui-ci” est le discours de celui/celle qui ne veut pas changer ses puissantes habitudes gustatives.
Si on y regarde de plus près le changement vient après un inconfort. un déchirement intérieur, la prise de conscience d’une dissonance et l’absolue nécessité de quitter cette dissonance.
Or, comment la jouissance morbide des sens activés à l’odeur de saucisses frétillantes sur le barbecue, au goût du sang chaud dans a bouche, à la texture croquante de la peau du poulet rôti au moelleux réconfortant d’une omelette, d’un camenbert…pourrait-elle se soustraire à elle-même après des millénaires de perfectionnement neurosensoriels accélérés à la folie depuis le milieu du vingtième siècle ?
Si ce n’est en ayant , face à sa dévorante recherche du plaisir gustatif un STOP magistral montrant l’ignominie de sa face cachée ?
Ce STOP – images montrant la torture et le génocide animaliers perpétrés au nom de cette jouissance éphémère des sens – entraine un sentiment de culpabilisation normal et SAIN.
Celui-ci prouve que derrière la folie des sens, il y a un Être sensible qui reconnaît les atrocités commises envers ses frères et soeurs les animaux.
Ce sentiment de culpabilité est le premier pas du déchirement intérieur permettant le changement salvateur pour soi mais surtout pour les milliards d’êtres sensibles exécutés chaque année.
Alleluih l’être sensible émerge de l’humain !
Mais l’orgueilleux jouisseur ne veut pas déroger à sa toute puissance mortifère. Il projettera ce sentiment de culpabilité sur le messager. fera appel au combattant (en lui) pour défendre le droit à cette jouissance suprémaciste même si celle-ci doit causer l’extinction du vivant.
Au final, il inversera les rôles, se présentant en victime d’extrémistes végans. Un comble, quand on voit l’extrême violence avec laquelle il traite les êtres nommés « animaux », « bêtes », »bétail », « produits ».
Il n’est pas demandé ici de devenir « végan ».
Toute idéologie, aussi noble soit-elle entraîne la création ou le maintien d’une contre-idéologie. Non, il est simplement proposé, à travers ce sentiment de culpabilité, de redevenir des Êtres sensibles.
Et la sensibilité n’est pas de la sensiblerie, liée elle aussi à l’excitation des sens.
La sensibilité n’est pas affaire de jouissance des sens.
Elle est affaire de sentiment d’âme, d’ouverture du Coeur, de reconnaissance du Sacré de chaque vie.
Elle est peut être le point de départ de ce qui sauvera l’humanité.
Elle ouvre à la Compassion au sentiment d’unité, au ravissement de l’Être.
C’est tellement plus vaste, plus Majestueux que cela impose de l’intérieur un renversement des valeurs et l’arrêt de comportements mortifères.
Simplement redevenir un Être sensible, est-ce trop demander ?
(Grégory Wispelaere)
En guise de conclusion
Dans les contes de fées , très souvent le Héros réussit sa quête parce qu’il a sauvé ou épargné des animaux avant. Ceux-ci exécutent les épreuves que le héros serait incapable de réaliser, comme aller chercher une bague au fond de l’océan – un poisson) .
Dans Cendrillon les tourterelles trient les lentilles.
Dans le Chat Botté, c’est un chat qui fait de son maître un roi.
Dans « le prince qui n’avait peur de rien », c’est un lion qui sauve le héros et un oiseau qui lui permet de retrouver la vue.
Dans « les trois plumes » ce sont des grenouilles qui offrent la fécondité au fils cadet…et bien d’autres exemples où les animaux sont les partenaires et alliés des héros.
Ne voit-on pas aujourd’hui que beaucoup d’animaux sont en train d’apprendre aux humains à devenir plus humains; c’est un comble !
Je vous propose de bien prendre la mesure de ce qu’est un changement :
« Le changement vient après un inconfort. un déchirement intérieur, la prise de conscience d’une dissonance et l’absolue nécessité de quitter cette dissonance ».
En plus, faire quelque chose pour le changement s’avère facile pour ceux qui n’ont pas de réels projets d’avenir; il suffit d’arrêter d’aller dans le mauvais sens, de rester programmé par le passé. Arrêter la souffrance, l’égoïsme, l’individualisme, arrêter de nuire. redevenir « innocent » comme un enfant. Arrêter de « se faire plaisir » quand ça occasionne souffrance et dégâts. C’est l’absolue nécessité.
Il n’est aujourd’hui un secret pour personne qu’une oligarchie mène le monde et se « régale » de la sueur et la souffrance de la majorité des gens ordinaires et en a fait des esclaves. Quand on accepte cette idée, l’idée suivante est que » les petites gens » font 100 fois pire aux animaux. Donc on sait ce qui reste à faire puisque tout est relié ; c’est ce que j’explique dans l’article précédent : l’accès au monde de tout-possible.
Se libérer de l’oligarchie, c’est arrêter d’obéir à l’industrie et au consumérisme qu’ils ont instaurés. Leur demander à eux de changer, c’est se tirer une balle dans le pied.
La liberté passe
-
par la culpabilité saine et le retour à la sensibilité
-
la responsabilité du changement
Laissez votre avis, d’accord ou pas dans les commentaires !
CREONS UN MONDE OU CHAQUE VIE COMPTE
https://www.facebook.com/l214.animaux/videos/471980770167872/?t=8
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En ce moment même si on suppose que la démocratie existe réellement, l’oligarchie règne encore. En fait, en ce moment, la plupart des pouvoirs sont toujours entre les mains d’un petit nombre d’individus riches.
Bonjour Salomée et merci pour ton commentaire
Ah ça oui, la démocratie n’est qu’un rêve qui s’envole…sous le joug du totalitarisme !
Oui en effet, l’être sensible émerge de l’humain, mais jusqu’à quel point arriverons-nous à le faire sortir, notamment à le faire ressentir ce sentiment de culpabilité ? C’est différent pour chaque homme, et c’est ce qui rend l’animosité chez cette espèce très difficile à éradiquer selon moi.
Lorsqu’on veut quelque chose, il reste incontournable d’opter pour une offrande (les animaux ou d’autres choses). La raison ? On ne peut pas négliger l’existence d’un échange équivalent pour rendre ce dernier encore plus efficace.
Un article par Trouver Dentiste de Garde : Où acheter un masque chirurgical ?